Il constata que le travail du temps mêlé à celui des éléments corrosifs permettait de dégager un substrat plus qu'acceptable, presque parfait. Cours de l'érosion suspendu parce qu'il en avait décidé ainsi. Le galet n'aurait plus jamais à subir les grands coups de vent, les attaques de sable et de sel, les coups portés par des paquets de mer déchaînés, les soirs de tempête. Finie la houle incessante, les entrechocs avec ces semblables et surtout, surtout, le poids des hommes aux semelles rugueuses.
samedi 9 mai 2009
Galet
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